« Rien n’est plus grand que la mère des hommes », ode à la chronique judiciaire
Longtemps, les chroniqueurs judiciaires ont été les grands oubliés de la littérature, délaissés au profit des avocats pénalistes, aux effets de manche et plaidoiries spectaculaires. Dans « Rien n’est plus grand que la mère des hommes », paru aux éditions Albin Michel, l’autrice, Diana Filippova, dévoile le potentiel romanesque des chroniqueurs judiciaires, en mettant en […]